jeudi 18 août 2011

À l'essai: Jeep Grand Cherokee 2011


Bien des choses ont changé depuis le premier Cherokee fabriqué dans les années 70 par l'American Motors Company (AMC). De l'achat d'AMC jusqu'à son rachat par Fiat l'an dernier, la compagnie Chrysler démontre plus que jamais qu'elle est de retour sur la voie de la réussite. Le nouveau Grand Cherokee ne fait pas exception avec son nouveau look beaucoup plus moderne, conservant toutefois le style classique d'un Jeep!

À part son tout nouveau design, la 4e génération du Jeep Grand Cherokee est maintenant offerte, comme la plupart des véhicules Chrysler, avec le moteur V6 Pentastar 3,6 litres de 290 chevaux. Mon véhicule d'essai était équipé du V8 5,7 litres de 360 chevaux disponible en option. Il est performant, il est puissant et devinez quoi, il est gourmand! Même si 4 de ses 8 cylindres se désactivent en conduite normale sur l'autoroute, ça ne fait pas une grosse différence une fois à la pompe. J'ai obtenu une moyenne de consommation d'environ 15 l/100 km après ma semaine d'essai. Dans l'ancienne génération, un moteur diesel Mercedes-Benz était disponible. Cette motorisation est maintenant abandonnée, mais réaparaîtera d'ici quelques mois alors que Fiat s'est associé avec le manufacturier de moteur diesel italien, VM Motori.

À l'intérieur, le Grand Cherokee propose un assemblage au goût du jour et plus luxueux. Les sièges sont très confortables et il y a évidemment beaucoup d'espace pour les passagers, par contre pas de 3e banquette disponible. Le tableau de bord est présenté de façon beaucoup plus agréable qu'à ce qu'on est habitué chez Jeep. Les matériaux sont de bonne qualité et la disposition des différentes commandes rend l'utilisation simple et efficace.

Sur la route, la position de conduite haute est agréable et nous donne l'impression d'être assis dans un gros camion! Ais-je besoin de vous dire que l'accélération du moteur Hemi est plus qu'appréciable? L'agrément de conduite en général est très agréable. La suspension est bien calibrée ainsi que la direction. Si vous avez un côté plus aventurier et aimez circuler hors-route, vous pouvez toujours choisir l'option Quadra-lift, qui vous permettra d'élever ou d'abaisser la suspension à votre guise.

En conclusion, je n'ai pas essayé la version avec moteur V6, mais je crois qu'elle serait à considérer. À moins que vous ayez absolument besoin du V8 pour tirer 7400 livres, je crois que le V6 Pentastar est une meilleure option, srtout qu'il peut quand même tirer une charge de 5000 livres. Si c'est la performance qui vous intéresse, la version SRT-8 sera disponible sous peu avec un V8 6,4 litres de 465 chevaux!

La semaine prochaine, le Dodge Charger R/T.

vendredi 12 août 2011

À l'essai: Toyota Prius 2011, la pionnière!

Déjà plus de 10 ans se sont écoulés depuis l'apparition de la première Prius en Amérique du nord. Vous avez bien lu, 10 ans! Il s'en passe des choses dans le domaine de l'automobile au cours d'une décennie. Dans le cas de la Prius, elle a beaucoup évolué, mais une grande majorité de la population semble toujours hésitante face à elle (ainsi qu'à tous les véhicules hybrides). Et pourtant...

Deux points reviennent souvent par rapport aux véhicules hybrides, le prix et les batteries. Je vous l'accorde, le prix à l'achat est plus important que pour un véhicule "non hybride" et il vous faudra attendre quelques années avant de rentabiliser votre investissement. Pour ce qui est des batteries, la technologie évolue très rapidement et dans un avenir rapproché, des piles au lithium beaucoup plus abordables seront disponibles. Donc le remplacement des batteries d'origine pourra se faire à moindre coût. Cela étant dit, parlons de la Prius maintenant!

La nouvelle génération de Prius, depuis 2009, dispose d'une puissance combinée de 134 chevaux. C'est amplement suffisant pour faire taire ceux qui pensent qu'une Prius avance aussi vite qu'une mobylette. C'est seulement si vous désirez circuler en faisant fonctionner que le moteur électrique que vous aurez l'air un peu "pépère". Je dis ça, mais je suis le premier à le faire lorsque j'essai un véhicule hybride. C'est comme une drogue! C'est encore plus amusant lorsque la semaine d'essai termine et en allant remplir d'essence le véhicule, il demande à peine plus de 25 litres pour les 500 kilomètres parcourus!

Sur la route, la Prius se comporte comme n'importe quel véhicule de sa classe. La conduite est douce et confortable. Ce n'est évidemment pas un véhicule très excitant à conduire, mais j'ai vu pire. L'accélération est très bonne, comparativement à l'ancienne génération qui avait seulement 110 chevaux. Petit fait cocasse, lorsque j'ai fait l'essai de la Ford Fusion hybride, je m'étais pointé à la commande à l'auto d'un restaurant. Le commis ne m'a jamais entendu arriver et j'ai dû lui dire que j'étais là puisque la Fusion ne fait aucun bruit. Avec la Prius, le moteur électrique émet un son qui permet d'être constamment entendu, donc moins d'attente pour mon hamburger!

En prenant place derrière le volant de la Prius, on se rend compte que ce n'est pas un véhicule comme les autres. L'immense console flottante saute aux yeux. Elle incorpore un petit sélecteur de vitesse plutôt mignon. L'écran du tableau de bord central affiche toutes les données concernant le système hybride ainsi que les données générales du véhicule. Mon véhicule d'essai était équipé en option du système audio avec haut-parleurs JBL. Quoi ? Une Prius qui sonne mieux que bien des véhicules à 40 000$. C'est ce que je me suis dit. Pour ce qui est de la position de conduite, elle est très bien et les sièges sont confortables. La vision est exceptionnelle avec l'immense surface vitrée. Par contre, la vitre du hayon arrière est divisée en deux et peut parfois être agaçante.

En conclusion, je peux vous confirmer que la pionnière des voitures hybrides a fait ses devoirs. Elle a bien évolué et est maintenant plus raffinée. Si vous voulez faire votre part pour préserver l'environnement tout en ayant quelque chose d'agréable entre les mains, la Prius est faite pour vous!

Mon prochain essai est complètement à l'opposé, le Jeep Grand Cherokee Hemi. À lire dans quelques jours!

jeudi 28 juillet 2011

À l'essai, Volkswagen Eos 2012, pour profiter du soleil en famille!

Venue remplacer la Golf Cabrio il y a quelques années, la Volkswagen Eos reçoit cette année un petit remodelage esthétique. L'avant et l'arrière sont retouchés ainsi que l'intérieur. Elle se fond maintenant parmi les autres modèles Volkswagen avec l'abandon de l'immense grille chromée.

Pour ce qui est des composantes mécaniques, rien n'a changé. Le seul moteur disponible demeure le 2,0 litres turbocompressé de 200 chevaux. Il peut être jumelé à une transmission manuelle ainsi qu'à la transmission automatique DSG. Notez que de l'autre côté de l'atlantique, un moteur 6 cylindres de 260 chevaux est disponible. Avec un moteur d'une telle puissance, les pneus avant doivent à peine durer un été. Le véhicule est tellement lourd à l'arrière qu'au moindre départ rapide, les pneus se mettent à crier. C'est encore pire le toit baissé.



À l'intérieur, c'est identique à une Jetta de base. J'aurais aimé un petit quelque chose de plus, mais bon. Les sièges sont tout de même confortable et l'espace pour les occupants avant est raisonnable. C'est une toute autre histoire à l'arrière, mais ça je m'en doutais. De toutes façons, on achète pas ce genre de véhicule pour partir à l'aventure en famille, surtout qu'il n'y aurait pas assez d'espace dans le coffre pour mettre les bagages.

La configuration du toit est bien pensée. Lorsqu'il est fermé, il est bien insonorisé et une fois rabaissé, il se cache entièrement dans le coffre. Vous ne voulez pas trop être décoiffé? Pas de problème! Vous pouvez ouvrir seulement la partie avant du toit. De cette façon, vous pourrez profiter du soleil sans déplacer votre mise en plis.

Sur la route, la Eos est très à l'aise. Elle offre une très bonne tenue de route malgré son poids plus imposant. La suspension est ferme et même parfois un peu trop à l'arrière, surtout le toit baissé, nos superbes routes n'aidant en rien. Si vous êtes un adepte de voitures convertibles, vous oublierez tous les petits défauts lors de vos balades estivales sous un beau ciel bleu.

En conclusion, la Volkswagen Eos saura vous combler si vous recherchez un convertible pouvant loger 4 personnes et offrant un agrément de conduite intéressant. Ce n'est évidemment pas une Porsche Boxster, mais avec la Eos, vous pourrez traîner les enfants avec vous.

La semaine prochaine, la Toyota Prius.

mardi 19 juillet 2011

À l'essai: Ford Explorer 2011, une superbe évolution!

Lors de son lancement il y a quelques mois, le Ford Explorer est loin d'avoir fait l'unanimité. Non pas à cause de son nouveau look, mais en raison des composantes de sa fabrication. Je me souviens avoir lu des commentaires pas trop gratifiants de la part de passionnés d'Explorer. Ce qu'ils reprochaient aux concepteurs est d'avoir maintenant un Explorer construit sur une structure monocoque et l'absence d'un moteur V8. Moi ce que j'ai à dire c'est que des "chialeux", il y en aura tout le temps, surtout que la plupart d'entre eux doivent encore rouler en Bronco II 1988.

Absolument rien n'a été récupéré de l'ancienne version pour la conception de l'Explorer 2011. Les concepteurs ont sorti leurs planches à dessin et ont conçu quelque chose de tout nouveau. Pour ce qui est du design, ils se devaient d'incorporer l'immense calandre aux trois barres horizontales qui est maintenant l'image de la marque. L'abandon du châssis pour passer à la structure monocoque enlève peut-être un peu de rigidité, mais vous pourrez lire un peu plus loin comment le confort en est amélioré. Pour ceux qui n'ont aucune idée de quoi je parle, pour faire court, le châssis est une structure rigide sur laquelle est fixé la carrosserie, comme pour les "pick-up" par exemple. Pour le monocoque, le nom le dit, tout est en un morceau.



Sous le capot, l'Explorer est propulsé par un moteur V6 de 3,5 litres qui produit 290 chevaux. C'est sensiblement la même puissance que dans le Edge qui est pourtant beaucoup plus petit. Vous vous doutez donc que la puissance manque un peu, surtout que 7 passagers peuvent y prendre place et qu'il reste encore de l'espace pour les bagages. Ça ne doit pas être facile dans le parc des Laurentides. Dans quelques semaines, un moteur EcoBoost de 4 cylindres sera également offert. Encore moins puissante, cette version axée sur l'économie de carburant est destinée à la conduite urbaine et sera offerte seulement en traction avant.

À l'intérieur, il y a bien évidemment énormément d'espace et beaucoup de confort. Si vous décidez de relever la troisième rangée de sièges, tout les occupants sont très bien assis. Le tableau de bord est bien conçu et incorpore le système MyFord Touch et le système de reconnaissance vocal Sync qui fonctionne à merveille.

Sur la route, c'est le confort qui domine. Que ce soit sur l'asphalte ou une route de gravier la douceur de roulement est remarquable. Le mot "smooth" est d'ailleurs ressorti à plusieurs reprises de la bouche d'un ami anglophone qui a pris place dans l'Explorer. Sur la console centrale, une roulette vous permet de sélectionner 4 modes selon  la surface sur laquelle vous circulez. Ces modes sont "Normal", "Boue", "Sable" et "Herbes/Gravier/Neige". Lorsque vous sélectionnez un mode, le système ajustera automatiquement le moteur, la transmission, la traction intégrale et tous les dispositifs de contrôle de traction pour optimiser la conduite sur le terrain choisi.

En conclusion, ce qui m'a marqué le plus est que l'Explorer se conduit comme une berline. C'est un "compliment", ce n'est aucunement négatif. À son bord, je n'avais pas l'impression d'être dans un gros camion. La précision de la direction, le confort intérieur et la douceur de roulement m'ont fait grandement apprécier le Ford Explorer.

La semaine prochaine, la Volkswagen EOS 2012.

mardi 12 juillet 2011

À l'essai: Jeep Compass 2011, sur la route ou hors-route!

La marque Jeep est associée depuis toujours à la conduite hors-route et à la "bouette". Par contre, depuis quelques années, Jeep a commercialisé quelques modèles plus adaptés à la conduite de tous les jours. Si je pense au Grand Cherokee ou au Liberty, je me dis qu'ils peuvent bien se débrouiller hors des sentiers battus. Ils ne sont peut-être pas aussi débrouillards que le Wrangler, mais quand même. Maintenant, si je pense au Patriot ou au Compass... hum.... pas fort forts lorsqu'on quitte l'asphalte...

Cette pensée ne s'applique plus pour 2011. En plus de son nouveau look, le Compass est maintenant disponible avec l'ensemble "Freedom-drive II". Cet ensemble lui permet de passer les tests pour être accrédité "Trail-Rated". Cet ensemble équipe le Compass de plaques de protection sous le véhicule, de pneus tout-terrain, d'une nouvelle génération de transmission à variation continue avec un mode hors-route, d'une commande qui bloque le différentiel pour être 4X4 en tout temps, de l'assistance en pente et de crochets de remorquage. D'ailleurs, un de ces crochets m'a été fort utile!

J'ai donc décidé de tester le Compass où il est maintenant supposé faire bonne figure. J'ai activé tous les modes hors-route et je me suis aventuré au même endroit où les v.t.t. vont s'amuser. J'ai été agréablement surpris de la prestation du Compass. Il se débrouille très bien dans l'eau, la boue et sur les terrains accidentés. L'angle d'attaque du pare-choc avant lui permet d'affronter des trous profonds sans jamais frotter. Je dois quand même vous spécifier que les pneus ont un peu plus de crampons, mais sont tout de même conçus pour avoir une douceur de roulement sur l'asphalte.

Sur la route, le Compass se classe dans la moyenne. Son moteur 4 cylindres de 2,4 litres produit 172 chevaux. En chiffre, ça semble suffisant, par contre c'est un peu juste en accélération. Pour ce qui est de la tenue de route, elle se rapproche beaucoup plus d'un Wrangler que d'un Honda CR-V. Si vous recherchez un véhicule confortable et "smooth" sur la route, le Compass n'est pas pour vous. C'est un Jeep!

À l'intérieur du Compass, c'est un peu la même chose, du plastique partout, un tableau de bord très simple et des bancs plus ou moins confortables. La position de conduite est haute et offre une bonne visibilité. Le volant offre maintenant toutes les commandes pour le systèmes audio. L'espace intérieur est de bonne dimension ainsi que celui pour le chargement.





En conclusion, le Compass "Freedom-drive II" est un bon compromis pour quelqu'un qui aime se balader dans toutes sortes de conditions à moindre coût. Il est évidemment loin derrière le Wrangler, mais il est très amusant à conduire.

La semaine prochaine, le Ford Explorer.

mercredi 6 juillet 2011

À l'essai: Subaru WRX 2011, sur les traces de sa grande soeur!

Le constructeur japonais est reconnu depuis plusieurs années dans le monde du rally avec la WRX STI. Elle est l'icône de la marque et représente un mélange parfait de puissance et de contrôle. À ce jour, la STI demeure la voiture de série qui se rapproche le plus d'une voiture de course, dans sa gamme de prix bien évidemment. 

Depuis quelques années, la WRX était certes un choix intéressant pour avoir plus de puissance qu'une Impreza de base, mais le "look" n'y était pas... jusqu'à aujourd'hui! La WRX 2011 adopte maintenant un style beaucoup plus agressif, avec une carrosserie plus large dérivée de la STI. Cette carrosserie fait de l'espace pour un empattement et des roues plus larges améliorant ainsi la tenue de route.

Sous le capot, la WRX est équipée d'un moteur BOXER 2,5 litres turbocompressé de 265 chevaux et 244 lb.-pi. de couple. Ais-je besoin de vous mentionner que la puissance est très impressionnante? Je vous le dit quand même, elle est très impressionnante! Les accélérations sont rapides et la sonorité du moteur vous donne l'impression d'être au volant d'une voiture de course. Pour ce qui est du nouvel empattement plus large de 35 mm à l'avant et de 40 mm à l'arrière, il procure une tenue de route incroyable. Que ce soit pour une balade en campagne ou une session sur un circuit, vous ne serez pas déçus. La stabilité du véhicule est exemplaire.

À l'intérieur, la position de conduite est parfaite. Les sièges avants semblent être moulés à votre corps tellement ils offrent un bon support. Il y a amplement d'espace pour tous les occupants. Vous mesurez un peu plus de 6 pieds, pas de problème à l'avant. Le tableau de bord est très simple et offre un système audio de qualité moyenne. De toute façon, étant un amateur de musique, je ne l'ai allumé qu'une ou deux fois pendant ma semaine d'essai. J'aimais mieux écouter le moteur!

La WRX 2011 deviendra sans aucun doute encore plus populaire qu'elle l'est depuis quelques années. Elle est très bien équilibrée à tous les points de vue et procure un agrément de conduite sans pareil. Elle est parfaite pour ceux qui ne veulent pas nécessairement se procurer la brutale STI. La WRX est officiellement une des voitures les plus agréables que j'ai conduit.




La semaine prochaine, le Jeep Compass (option Freedom-Drive II). Si vous aimez la boue, vous serez ravis!

lundi 27 juin 2011

À l'essai: Kia Optima SX 2011, à quelques détails près!

Il est très rare que j'exprime mon opinion sur l'apparence d'un véhicule. Je crois que tout est une question de goût. Pour la Kia Optima, j'ai un peu de difficulté à me retenir. D'accord, je me lance... WOW!!! C'est un véritable chef d'oeuvre que nous offre Peter Schreyer, le directeur du design chez Kia. Je vous ai déjà parlé de lui auparavant, mais cette fois-ci, il s'est surpassé.  

La version que j'avais à l'essai est la SX. Cette version, qui se veut axée sur la sportivité, est équipée d'un moteur 2.0 litres turbocompressé de 274 chevaux. Je peux vous garantir que vous ne serez pas déçus puisqu'il offre beaucoup de puissance. Par contre, je ne comprends pas comment un véhicule qui prétend être une berline sportive peut être chaussé de pneus Nexen!?! Ils sont de très mauvaise qualité. Ils crient à rien et glissent énormément. Heureusement, c'est quelque chose qui se remplace facilement. Autre point négatif, les freins surchauffent rapidement lorsqu'on en demande un peu plus à la voiture. Pour ce qui est de la direction et de la suspension, tout est bien équilibré.

À l'intérieur, la qualité de l'assemblage et des matériaux est remarquable. Le tableau de bord, orienté vers le conducteur (devrais-je dire le pilote), est accentué d'une belle touche de cuir. Les commandes sont bien disposées et faciles d'utilisation. Les sièges sont très confortables et offrent beaucoup de soutien. À noter qu'ils sont tous chauffants et ceux à l'avant sont également climatisés. Il y a amplement d'espace pour les passagers avants. À l'arrière, l'accès est un peu plus difficile, mais tout de même acceptable.



J'ai parlé un peu de mes déceptions en conduite sportive, mais ce n'est pas à tous les jours que notre véhicule est vraiment sollicité. En conduite "normale", l'Optima n'a pratiquement pas de défaut. Elle offre beaucoup de plaisir et assis à son bord, elle donne l'impression d'être dans un véhicule haut de gamme. Si elle vous intéresse, attendez-vous à vous faire regarder. C'est un véhicule qui attire énormément l'attention!

La semaine prochaine, la Subaru Impreza WRX.